Stade Rennais. Créé en 1965 par la fusion de trois clubs, Eskişehirspor doit alors choisir ses nouvelles couleurs. Le 21 décembre 1952, 21 397 personnes assistent à un match de championnat disputé face au Stade de Reims, battant le record du stade qui passe pour la première fois la barre des 20 000 spectateurs[12]. En 2008, dans le cadre de la désignation des stades susceptibles d'accueillir l'Euro 2016, un projet d'accroissement de la capacité du stade de la route de Lorient à 35 000 places assises voit le jour, consistant en un agrandissement de la tribune Vilaine[36] pour un coût de 36 millions d'euros[37]. Le joueur ayant disputé le plus grand nombre de rencontres officielles sous le maillot du Stade rennais FC est le défenseur Yves Boutet : il dispute 394 matchs entre 1955 et 1967[137]. Il a eu l’honneur de lancer le clapping de la victoire. À l'entrée nord de la tribune Rennes se trouve également une plaque posée à la mémoire des membres du SRUC[note 6] tombés au champ d'honneur pendant la Première et la Seconde Guerre mondiale, notamment Philippe Ghis, l'un des membres-fondateurs du club[103],[104]. Enfin, la troisième Coupe de France remportée en 2019 l'est sous la direction actuelle d'un jeune entraîneur natif de Rennes, Julien Stéphan. Cette fois, la rénovation est mise en œuvre, et vise à reconstruire l'ensemble des tribunes du stade, pour offrir une capacité de 33 000 places. En mai 2014, néanmoins, l'influence d'Artémis est atténuée par l'entrée au capital du club de René Ruello, qui redevient président du Stade rennais FC[172],[173]. Le stade se trouve également à moins de dix kilomètres de l'aéroport de Rennes-Bretagne, accessible en moins d'un quart d'heure[158]. Cette bibliographie présente quelques ouvrages de référence. De 1933 à 1982, l'ensemble des entraîneurs du club ont pour point commun d'avoir disputé comme joueur des matchs pour le Stade rennais FC[note 19]. Recruté à Vienne en 1933, Franz Pleyer est naturalisé français sous le nom de François Pleyer en décembre 1936[236], et fait l'ensemble de sa carrière au club aussi bien comme joueur que comme entraîneur, recruteur ou secrétaire[237]. Le centre de formation ne prend véritablement de l'envergure qu'à partir de 1987, date de la construction de l'école technique privée Odorico, structure dédiée à la scolarité et à l'hébergement des jeunes footballeurs[289]. Suivent dans ce classement Jean Prouff, avec treize matchs sur un total de dix-sept capes, qui est le capitaine de l'équipe de France lors de trois de ses quatre dernières sélections, honorées alors qu'il évolue au Stade de Reims[191], et l'attaquant Jean Grumellon, dont les dix sélections sont toutes obtenues pendant sa carrière rennaise[192]. De son vrai nom Mahi Khennane, son prénom ayant toujours été utilisé pour le désigner durant sa carrière de footballeur. Nombre de contrats professionnels signés. La municipalité, propriétaire majoritaire depuis 1987 dans le capital du Stade rennais FC[71], lui cède progressivement ses parts sur une période de trois années[70],[72]. Pour répondre aux normes de l'UEFA lors de la participation du Stade rennais à la Ligue Europa 2011-2012, les bancs de touche sont déplacés en tribune Vilaine, deux espaces, situés au bord de l'aire de jeu, accueillant à partir de septembre 2011 les remplaçants et les staffs des équipes[85]. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Construite sur deux niveaux, elle est la plus basse des quatre tribunes du stade[36] et comprend les deux virages faisant la jonction avec les tribunes Mordelles et Rennes. L'enceinte sportive accueille ponctuellement des événements culturels. Située côté nord, face à la tribune présidentielle, se trouve la tribune appelée populairement « tribune Lorient »[86], puisque longeant la route du même nom, et qui porte la dénomination commerciale de « tribune Super U »[87]. À sa proximité immédiate se trouvent le centre de formation et le camp d'entraînement, alors que le stade abrite en son sein la boutique et le restaurant du club. Le but poursuivi est de permettre au club d'augmenter et de diversifier ses ressources économiques, en créant une activité qui ne se limite pas à celle enregistrée les jours de matchs[42],[43]. Les personnes travaillant aux buvettes du stade, les hôtesses VIP, les serveurs, le traiteur, les agents de nettoyage et les agents de sécurité sont ainsi employés par des entreprises extérieures. Bien que défait, le club breton s'est toutefois offert une place importante dans le paysage du football français. Depuis 1907, trente-neuf entraîneurs dont trente-six différents se sont succédé à la tête du Stade rennais FC. Vue sur le centre de formation du Stade rennais depuis la tribune Rennes. « Hors-la-loi » pendant trois saisons, le club dispute une centaine de matchs amicaux, dont vingt-neuf contre des équipes étrangères[25]. Il en devient le premier président[160], fonction occupée jusqu'en 1927[161]. Carrière internationale en cours, mise à jour du nombre de sélections au 30 mars 2011. Il parvient pour la première fois à se qualifier à l'issue de la phase de poules de Ligue Europa, avant d'éliminer le Betis Séville en seizième de finales (3-3 à Rennes, puis 3-1 à Séville). En septembre 1912, la section football quitte le terrain de la Mabilais, qu'elle utilisait jusqu'alors, pour emménager au Parc des sports du Moulin du Comte (futur Roazhon Park), du nom de la voie qui longe l'enceinte sportive[14],[15]. Édouard Réis-Carona, « Cech, la montagne tchèque ». Au cours des six années que dure le conflit, le club navigue entre professionnalisme et amateurisme, participant de façon épisodique aux quelques compétitions organisées au niveau national. La gestion des partenariats publicitaires et de leur affichage dans l'enceinte du stade est cédée par la municipalité au club en 1973[107]. En 1971, l'émergence d'une nouvelle génération de joueurs permet au Stade rennais UC de renouveler sa performance de 1965. Enfin, le poste de gardien de but est occupé par Pierrick Hiard, international formé au club, qui y réalise l'essentiel de sa carrière sportive entre 1973 et 1991 avant d'intégrer l'encadrement technique[186]. Jérôme Leroy obtient lui aussi cette distinction, en 2008[142]. Les tribunes Mordelles et Rennes, respectivement situées côté ouest et côté est, sont équipées depuis septembre 2008 de deux écrans géants de 48 m2 avec un pixel pitch de 10 millimètres[63]. L'emplacement des personnes handicapées dans l'enceinte du stade est pour sa part déterminé par le Stade rennais FC[160]. Premier club breton vainqueur de la Coupe de France, le Stade rennais UC est reçu triomphalement par la population rennaise à son retour dans la ville le 31 mai 1965[49],[50],[51]. Leur maillot séduit les dirigeants turcs, qui donnent à Eskişehirspor les couleurs du Stade rennais FC[88]. En automobile, le stade est accessible directement par la sortie « porte de Lorient » de la rocade de Rennes. Soit 33 entraîneurs successifs en l'espace de 78 ans, de 1932 à 2010. Il devance François Pleyer, entraîneur du club entre 1945 et 1952, et qui totalise 266 matchs sur le banc de touche Rennais[143]. Le club ne parvient cependant pas à accrocher une place en Ligue des champions qu'il est pourtant très près d'obtenir en 2007[79]. Le record actuel est de 29 490 spectateurs, marque établie à l'occasion d'une rencontre de Ligue 1 disputée le 20 août 2005 contre l'Olympique de Marseille (victoire du Stade rennais par trois buts à deux). La nouvelle capacité d'accueil permet à l'enceinte de battre son vieux record d'affluence de 1965. Le 2 juin 2007[125] puis le 17 mai 2008, s'y déroulent par deux fois les Nuits interceltiques réunissant des musiciens tels que Alan Stivell, Dan Ar Braz, Denez Prigent, Carlos Núñez ou le bagad de Lann-Bihoué[126]. Dirigé par Denis Arnaud[250], le centre de formation du Stade rennais FC s'appuie sur un socle associatif. Guérin, entraîneur du club entre 1955 et 1961, devient par la suite sélectionneur de l'équipe de France de football, qu'il conduit à la Coupe du monde 1966[178]. C’est sur un centre lumineux du jeune Truffert parfaitement repris par Nzonzi de la tête que les Bretons ont recollé au score à la 81e. Le club est présidé par Nicolas Holveck depuis le 18 mars 2020 et l'équipe professionnelle est entraînée par Julien Stéphan depuis le 3 décembre 2018. En janvier 2011 est annoncé un nouveau projet visant à aménager sur plusieurs hectares les alentours du stade en un pôle commercial aux couleurs du Stade rennais, en collaboration avec la ville de Rennes[41]. C'est le cas en août 2010 du. Benjamin Keltz, « La vraie feuille de match ». Le Roazhon Park comporte une aire de jeu de 105 mètres de long sur 68 mètres de large[64] dont la surface est en gazon naturel. C'est finalement l'arrivée de Jean Prouff aux commandes de l'effectif professionnel en 1964 qui permet au Stade rennais UC de franchir un palier. modifier - modifier le code - modifier Wikidata. En demi-finale, c'est ainsi au stade de la route de Lorient que se dispute le match retour entre l'équipe rennaise et l'Olympique de Marseille, qui voit la victoire des locaux après l'épreuve des tirs au but[11]. L'organisation de la sécurité est directement gérée par le club, qui emploie 350 stadiers et dépense 45 000 à 50 000 euros par match pour cela. En parallèle, la perspective de bâtir une équipe à forte coloration régionale revient de façon récurrente sans se concrétiser réellement. Entre cette date et le 23 mai 1972, lorsque la section football prend son indépendance de la structure omnisports, le président dirige l'ensemble des sections du Stade rennais puis du Stade rennais UC. Ce statut associatif lui permet de récolter diverses aides, et de développer ses propres partenariats[304]. La nouvelle construction qui prend sa place est inaugurée le 7 mars 1987[24], mais le club chutant de nouveau en deuxième division, le projet de trois autres tribunes similaires, envisagé au départ, est abandonné. Se voyant transférer la gestion pleine et entière de la pelouse par la municipalité en juin 2008[76], le club entreprend par la suite d'entretenir le gazon pendant l'hiver grâce à un dispositif comprenant des lampes à sodium, des bâches et des générateurs d'air chaud fonctionnant au fioul[77], ce qui permet une amélioration des conditions de jeu, mais pose également des questions d'ordre écologique[78]. Quelques années plus tard, sous l'impulsion d'Isidore Odorico, ce sont de nombreux joueurs issus de pays d'Europe de l'Est qui intègrent le club. À compter de l'application de l'arrêt Bosman en 1996, cette présence étrangère explose, dans la foulée de ce qui se fait ailleurs en France[242]. Pendant près de quarante ans, entre 1965 et 2004, le record établi le 11 novembre 1965 pour un match de championnat face au FC Nantes était de 28 148 spectateurs[259]. En plus du football, ses membres pratiquent l'athlétisme[5]. Au sud-ouest du stade, sur l'autre rive de la Vilaine, se trouve un centre commercial ayant pris la place occupée jusqu'à la fin des années 1990 par une station d'épuration[147]. Trois ans plus tard, quand le Stade rennais fusionne avec le Football Club rennais, il adopte les couleurs du second, de création plus ancienne[note 5], avec un maillot rouge et noir, rayé verticalement[11]. Enfin, en 2015, le Stade rennais met en place neuf lignes d'autocar permettant à vingt-six communes plus éloignées (départs notamment de Saint-Malo, Fougères, Vitré, Châteaubriant, Redon, Ploërmel ou encore Dinan) une liaison directe vers le Roazhon Park les soirs de match[156]. Dans cette configuration, le record d'affluence est porté à 29 490 spectateurs lors d'un match de Championnat de France disputé contre l'Olympique de Marseille le 20 août 2005[272]. Huit autres le sont dans une période allant de 1958 à 1970. Quelques mois plus tard, la tribune côté route de Lorient est reconstruite, également en béton. Une tendance à la hausse également observée sur les abonnements à l'année entre 2005 et 2009[87]. Les rivalités avec les autres clubs bretons sont plus ponctuelles, selon les rapports de force sportifs. Sa période de présidence est marquée par une modernisation des infrastructures du club, en particulier du Parc des sports de la route de Lorient[157], et par la victoire en Coupe de France de 1965. Sport Adrien Truffert, buteur et passeur, pour son premier match avec Rennes, FOOTBALL Pour son premier match professionnel, le jeune défenseur de 18 ans a permis au Stade Rennais de l’emporter face à Monaco samedi soir (2-1), Publié le 20/09/20 à 12h21 Depuis le 16 juillet 2020, avec la création de la Galerie des Légendes en 2019, il est possible de faire une visite guidé du stade.[113]. Réalisée en 2008, l'installation de ce système coûte 500 000 euros au Stade rennais[67]. Le tableau suivant récapitule l'évolution du record d'affluence du Roazhon Park à l'occasion des rencontres du Stade rennais depuis la saison 1946-1947. Les noms, entre autres, de Jean Prouff, Isidore Odorico, Henri Guérin ou encore Marcel Aubour sont alors proposés[45], sans que suite ne soit donnée. S'étalant sur une superficie de huit hectares[284], le centre est inauguré en juin 2000 par François Pinault[285]. Le site référence sur le Stade Rennais Football Club. La rivalité entre le FC Nantes et le Stade rennais FC ne s'est pas construite entre deux équipes luttant l'une contre l'autre pour l'obtention d'un titre, mais plutôt sur le déséquilibre existant entre une équipe ayant gagné de nombreux titres sur la scène nationale entre le milieu des années 1960 et le début des années 2000, et une équipe qui a longtemps dû se résoudre à vivre dans l'ombre de son voisin. Reconstruite entièrement en 2000[31], elle a depuis porté des dénominations commerciales différentes. Ce qui s'appelle encore le parc des sports du Moulin du Comte est un espace clos, qui bénéficie d'une tribune en bois située côté Vilaine. Plus récemment, Philippe Bergeroo reste en poste durant cinq mois entre juin et octobre 2002, le temps de diriger son équipe durant dix matchs de compétition[179]. Les Brestois, qui se sont maintenus en Division 1 à plusieurs reprises, ont eu l'avantage sur le club rennais qui faisait "l'ascenseur" au début des années 1990. Involontairement, le Stade rennais FC inspire au club turc d'Eskişehirspor l'adoption des couleurs rouges et noires. Parmi les entraîneurs du club, neuf sont de nationalité étrangère. Après avoir été menés deux buts à zéro, les Rennais égalisent (2-2) avant finalement de s'imposer aux tirs au but (6-5), mettant fin à 36 années sans trophée (le dernier étant le titre de champion de France de Division 2 remporté en 1983). Enfin, le Tchèque Petr Čech reçoit « l'Étoile d'or » du meilleur gardien de Ligue 1 pour la saison 2003-2004[144],[145]. Elle devient populairement la tribune « Mordelles », du nom d'une commune située dans cette direction le long de la route de Lorient[260]. Les deux titres de champion de France de deuxième division remportés par le club en 1956 et 1983 le sont sous les directions respectives de Henri Guérin et Jean Vincent. À partir des années 2000, sous l'impulsion de son président Emmanuel Cueff, le Stade rennais FC décide de multiplier l'utilisation d'éléments faisant référence à son identité bretonne[93]. Au terme de la saison 1960-1961, l'attaquant Khennane Mahi[note 16] est récompensé d'une « Étoile d'or » par le magazine France Football, ex-æquo avec Pierre Bernard, le désignant comme étant le meilleur joueur de la saison en Division 1. Dans les années 1960 et 1970, il est identifié comme le club populaire de Bretagne, chaque match disputé à domicile voyant déferler des cars de supporters venus de toute la région[90]. Entre 1904 et 1914 les deux clubs se partagent les titres de champion de Bretagne, et leurs confrontations sont souvent féroces. Quelques jours plus tard, le Stade rennais repousse finalement la mise en place d'une telle surface de jeu, le temps manquant pour son installation[74],[75]. L'affluence moyenne record sur une saison est réalisée lors de la saison 2019-2020 avec 25 892 spectateurs de moyenne lors des rencontres de Ligue 1 (14 matchs). Adossée au centre-ville, elle est divisée en deux parties, dont l'une réservée aux visiteurs[30]. Le Stade rennais FC fait également un usage régulier des mouchetures d'hermine, que l'on retrouve ainsi sur les pylônes de l'une des tribunes du Roazhon Park, rénovée en 2004[93], mais aussi sur les maillots des joueurs. Quelques exceptions subsistent toutefois, à l'image de Jocelyn Gourvennec, qui décroche un DEA en STAPS à l'université de Rennes 2[109],[121]. « Le match retour à Rennes fut exceptionnel. Le projet est de nouveau retiré alors que l'équipe première n'atteint pas … Le joueur qui totalise le plus de sélections en évoluant au Stade rennais FC est le milieu de terrain Yann M'Vila, avec vingt-deux sélections[190]. En 1965, l'ensemble des joueurs de l'effectif qui remporte la Coupe de France sont ainsi de nationalité française[47]. Plusieurs remplaçants sont également désignés : le milieu de terrain Raymond Keruzoré et le gardien de but Marcel Aubour, vainqueurs de la Coupe de France en 1971 ; l'attaquant Khennane Mahi, élu meilleur joueur du championnat de France par France Football en 1961[144] ; le défenseur François Pleyer, finaliste de la Coupe de France en 1935 ; l'attaquant yougoslave Silvester Takač, auteur de quarante-trois buts en deux ans et demi dans les années 1960[187] ; le défenseur Jean-Claude Lavaud, vainqueur de la Coupe de France en 1965 ; l'attaquant Shabani Nonda, fer de lance du club à la fin des années 1990 ; et enfin le milieu de terrain international Patrick Delamontagne, qui débute au club en 1974 et y prend sa retraite sportive dix-sept ans plus tard[188]. MELT / DRAST / ENET-DOLOWY Architecture Urbanisme. Le 27 avril 2019 au Stade de France, le Stade rennais FC s'impose en finale de la Coupe de France face au favori, le Paris Saint-Germain, vainqueur des quatre dernières éditions et déjà sacré de nouveau champion de France avant la fin de la saison. stade-rennais-online.com, issu des Archives municipales de Rennes. La moyenne de spectateurs par rencontre passe ainsi de près de 12 000 en 1974 à tout juste un peu plus de 4 000 en 1981[19], et ce malgré la construction d'une tribune en dur derrière le but côté ouest, tribune qui prend rapidement le nom de la commune adjacente de Mordelles et est inaugurée en janvier 1975[20]. Durant ses premières années d'existence, le Stade rennais FC évolue principalement sur un terrain situé dans le quartier de la Mabilais, sur la rive sud de la Vilaine[note 29],[14]. Pendant près de quarante ans, le record est détenu par un match de Division 1 ayant opposé le Stade rennais au FC Nantes le 11 novembre 1965. Renommé grâce à la qualité de son centre de formation, le Stade rennais FC évolue lors de la saison 2020-2021 en Ligue 1 pour la soixante-quatrième fois de son histoire[note 1],[2]. En pente, la prairie qui sert d'aire de jeu est régulièrement inondée en hiver[1]. Il est secondé par Florian Maurice, directeur technique du club depuis le 29 mai 2020[175]. De nombreuses autres associations de supporters encouragent le Stade rennais FC : Selon une étude de l'institut Benchmark (2018), il révèle la popularité des clubs dont le Stade rennais FC est à 4 % le club préféré et à 18 % un club aimé[332]. Combinée aux recrutements de joueurs comme Alexander Frei, Petr Čech ou Kim Källström, la jeunesse rennaise parvient à obtenir de meilleurs résultats, jusqu'à décrocher une quatrième place synonyme de qualification pour la Coupe UEFA en 2005[78]. À travers ses animations, ses chants et ses gadgets, le RCK représente également son identité bretonne et celtique, la Bretagne étant pour les Rennais une culture importante à afficher. Ce record est battu en 2004 à la suite de la rénovation du stade. Il est remplacé le 3 novembre 2017 par Olivier Létang, auparavant directeur sportif du Paris Saint-Germain. Huit ans plus tard, Rod Fanni[194] puis Jimmy Briand[195] portent à leur tour le maillot de l'Équipe de France en match officiel. Par la suite, le recrutement de joueurs étrangers devient plus sage et se porte sur des jeunes en quête d'un tremplin vers des clubs plus prestigieux. Le club se structure entre-temps, met en place des sections rugby à XV, cross-country et hockey[12], et engage avec le Gallois Griffith son premier entraîneur[13]. Conséquence directe de cette politique, le centre de formation du Stade rennais FC obtient la première place du classement des centres de formation français en 2006[297], 2007[298],[299], 2008[300], 2009[301], 2010[302] et 2011[303],[note 30]. Le 1er septembre 2001, le centenaire est à son tour célébré. Durant l'été 2018 l'éclairage du stade change pour passer au système leds notamment pour la Coupe du monde féminine de football 2019. C'est le cas de Sylvain Wiltord[226], Mikaël Silvestre[227], Ousmane Dabo[291], Anthony Réveillère[292], ou encore d'Ousmane Dembélé[293]. Girard, qui souhaite faire du Stade rennais UC un club majeur sur la scène nationale[35], engage successivement Henri Guérin puis Antoine Cuissard au poste d'entraîneur, sans résultat malgré une demi-finale de Coupe de France atteinte en 1959[38],[39]. Au total, le Stade rennais FC a disputé soixante-quatre saisons au plus haut niveau[note 6], ce qui le place parmi les cinq meilleurs clubs français sur ce critère[122]. Enfin, le 20 novembre 1938, ce sont 15 000 spectateurs qui prennent place dans le parc des sports pour assister à une rencontre de deuxième division opposant les Rennais au Red Star[134]. Le match, pauvre en occasions, mais globalement dominé par les Bretons, bascule peu après l'heure de jeu. L’un des attaquants les plus courtisés, après la relégation de l’Amiens SC, le joueur de 24 ans a finalement rejoint le Stade Rennais, contre 15 millions d’euros. Entre 1998 et 2014, la prise de contrôle d'Artémis influence largement la nomination des présidents du club. Depuis le début des années 2000, ces mouchetures d'hermines sont souvent présentes sur les différentes tuniques portées par les joueurs rennais[93],[100], alors que le maillot utilisé lors des matchs disputés à l'extérieur, traditionnellement blanc et noir, reprend en 2010 un motif évoquant le drapeau Gwenn ha du[101], puis en 2012 le drapeau Kroaz du[100]. Le 1er mai 1951, le cinquantenaire du club est prétexte à de nombreuses festivités dans l'enceinte du stade, et un match amical est disputé entre joueurs rennais et le club anglais de Charlton[111]. Le 24 mars 1901, pour le premier match qu'ils disputent dans l'histoire du club, les joueurs du Stade rennais arborent un maillot à rayures verticales bleu ciel et bleu marine[6]. Le 3 août 2019, les deux équipes se retrouvent pour le Trophée des champions. Le Stade rennais investit ainsi 150 000 euros pour se doter de ces rampes lumineuses, hors frais de consommation, estimés à 30 000 euros par an[67]. Cette interdiction levée en 1966, comme beaucoup de clubs français, le Stade rennais FC recrute de nombreux joueurs yougoslaves[241] comme Silvester Takač ou Velimir Naumović, mais aussi africains, comme Laurent Pokou. Ce dernier a également à sa charge l'ensemble des coûts d'entretien et d'exploitation, mais réalise un chiffre d'affaires moyen de 630 000 euros lors de chaque match[275], et y gère les partenariats publicitaires depuis 1973[276]. Les deux joueurs ayant remporté les deux titres, les défenseurs Louis Cardiet et René Cédolin, en font partie. 1&1 - Adrien Truffert est le 5e joueur à marquer et délivrer une passe décisive lors de son 1er match en Ligue 1 ces 10 dernières saisons après Waris le 11 janvier 2014, Neymar le 13 août 2017, Pereira Lage le 10 août 2019 et Meling le 23 août dernier. Le 22 mai 2019, le président du Stade rennais Olivier Létang présente la « Galerie des Légendes » qui consiste en un lieu où est retracé l'ensemble de l'histoire du Stade rennais FC, avec notamment l'exposition des 3 coupes de France remportées en 1965, 1971 et 2019[57].. Depuis la dernière rénovation de l'enceinte, la pelouse du Roazhon Park est entourée de quatre tribunes couvertes comportant uniquement des places assises. En 1932, 8 000 spectateurs assistent ainsi à un match amical disputé par le Stade rennais face aux Anglais de Mansfield[6]. Alors qu'en 1965, année du premier succès du club dans l'épreuve, le règlement de la Coupe de France oblige à ce que tous les matchs soient disputés sur terrain neutre[108], le stade de la route de Lorient accueille en 1971 quelques rencontres du parcours victorieux du Stade rennais dans la compétition. Depuis le 1er janvier 1999, aucun personnel de la ville de Rennes ne travaille au Roazhon Park, l'ensemble des intervenants étant directement employés par le club, ou par des prestataires rémunérés par le Stade rennais football club[106]. D'autres joueurs, hongrois ou autrichiens suivent cet exemple. Jamais descendu en dessous de la septième place en championnat entre 2004 et 2009[80], le Stade rennais FC ne parvient pourtant pas à enrichir son palmarès, perdant deux finales de Coupe de France face à l'En Avant Guingamp en 2009 et 2014[81], puis une autre en Coupe de la Ligue face à l'AS Saint-Étienne en 2013[82]. Chaque saison, le Stade rennais FC publie son budget prévisionnel de fonctionnement après validation auprès de la DNCG, l'instance qui assure le contrôle administratif, juridique et financier des associations et sociétés sportives de football afin d'en garantir la pérennité. Les années 2000 sont celles où l'instabilité est la plus forte, puisque treize techniciens se succèdent de Paul Le Guen à Julien Stéphan. Le rattachement de Nantes à la Bretagne demeure à ce titre un sujet de débat au sein du Kop, avec convergence de rivalité avec le club rival voisin, mais volonté de réunification de la Bretagne historique[331]. À l’époque, 3 jeunes supporters se séparèrent du kop en tribune Rennes pour monter un groupe jeune, autonome, et inconditionnel, le groupe rassemblant diverses mentalités (ultras, supporters, etc...) dont la mission principale est de soutenir le Stade rennais FC de manière inconditionnelle et le plus possible partout dans les stades où celui-ci évolue.

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